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Partage de Récits d’Accompagnement

Rencontre « Folie de l’Hospitalité »

Chuchoter le trouble à votre oreille

Folie de l’hospitalité

Semer le trouble

L’Ekschize Compagnie rencontre l’Appétit des Indigestes

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Le Centre Franco Basaglia s’exprime à partir de trois univers d’inspiration : la reconnaissance et l’émancipation, l’hospitalité et la justice sociale.

Les univers d’inspiration sont des imaginaires agissant sur le désir de vivre ensemble et de faire société en commun avec les maladies psychiatriques et la souffrance psychique. Ils ne visent pas à homogénéiser la pensée, mais à faire varier les points de vue dans des controverses. Un univers est bigarré de couleurs sans cesse en réajustement.

Le Centre Franco Basaglia manifeste ses univers d’inspiration selon trois régimes d’expression : le sensible, l’intelligible ou les normes.

Le sensible est ce qui peut être perçu par les sens. L’intelligible ce qui peut être compris.
Rendre sensible et rendre intelligible sont des mouvements pour rendre le monde plus partagé.

Composer des normes cherche à renouveler les institutions qui soutiennent les relations humaines en lien avec le trouble-souffrance.
Composer des normes vise à réinstituer un commun. Composer des normes peut prendre la forme de propositions politiques, mais pas que…

Nos dernières publications

  • Tous
  • hospitalité
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  • reconnaissance et émancipation
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Ma liberté

Ma liberté

Ma liberté s’arrête là où commence celle des autres ! Combien de fois n’entend-on pas cette phrase ! l’idée est tellement ancrée que, bien souvent, je pense, celle ou celui qui la prononce ne mesure ni ses implications, ni ses fondements. C’est une ineptie (un paralogisme, si tu préfères) qu’on a tellement répétée qu’elle s’est imposée. C’est probablement la première chose qui vient à l’esprit quand on demande comment définir la liberté. Si on faisait un micro-trottoir… Mais on ne fera pas de micro-trottoir.

Des lieux et des liens qui consolent

Des lieux et des liens qui consolent

Le travail de lien que nous effectuons avec les membres, usagers et personnes que nous côtoyons dans nos structures est-il aussi un travail de consolation ? La psychiatrie démocratique dans le milieu de vie passe-t-elle par la consolation des personnes en grande souffrance psychique ? La consolation est-elle la première étape sur le chemin d’une émancipation ?

Un lien indéfectible -

Un lien indéfectible

« Comment tout a commencé » est un roman de Pete Fromm. C’est l’histoire d’Austin et d’Abilene, un frère, une sœur. L’un d’eux est porteur d’un trouble, l’autre pas. Et Pete Fromm nous raconte toute la tension qui existe dans ce lien qui pourtant reste indéfectible.

J'aimerais mieux pas

J’aimerais mieux pas

Le rapport à la contrainte semble avoir changé dans la société.  Ça s’observe, notamment, dans le monde du travail, qui constitue sans doute la contrainte sociale la plus forte et la plus partagée, mais le changement pourrait bien être plus fondamental, et toucher le lien social tout entier.

Se sentir attaché

Se sentir attaché

L’inconscient collectif a tendance à associer le trouble psychique à une multitude de clichés : la souffrance, la détresse, l’hospitalisation, parfois même l’enfermement… Bien que cela puisse correspondre à une réalité, c’est loin d’être toute l’histoire. Et si, plutôt que de resserrer les liens qui enferment et qui étouffent, on s’attachait à ceux qui rassemblent et qui libèrent ?

La folie à la portée des enfants

La folie à la portée des enfants

Depuis « Alice au pays des merveilles » de Lewis Carroll (1865), peu de publications estampillées « jeunesse » ont abordé ce que l’on appelle la folie avec autant d’audace, de fantaisie et de légèreté. Aussi emblématique qu’iconoclaste, le roman illustré a passé l’épreuve du temps et reste une entrée en la matière formidable pour mettre le trouble psychique à la portée des enfants… Mais qu’en est-il de l’édition jeunesse contemporaine ?

Le fantasme de changer l'autre

Avoir bon d’avoir peur

La peur a mauvaise presse, mais il semblerait qu’à petites doses, et lorsqu’elle est choisie plutôt que subie, elle pourrait avoir un impact positif sur notre psyché. Les films d’horreur et le saut à l’élastique seraient-ils bons pour notre santé mentale ?

Comment dire

Comment dire

C’est devenu difficile d’utiliser le mot fou. Ça dérange. Je le fais pourtant volontiers, pour mettre en évidence ce problème de dénomination. On n’en finit jamais. Comment doit-on – peut-on, parler des personnes qui vivent avec un trouble psychique ? Comment les désigner ?

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